Logistique, acheminements, distribution…
Dans le ballet complexe des convoyeurs et chariots d’un entrepôt ou l’interaction entre un transporteur et un sous-traitant, seule la simulation peut prendre en compte l’aspect dynamique des phénomènes : des blocages qui s’instaurent uniquement dans certaines conditions, un stock tampon mal dimensionné pour tel type d’unité de conditionnement, tout ce pourquoi une maquette vivante se révèle plus fiable que des calculs statiques.
La simulation doit considérer à la fois la multiplicité des références et la combinatoire des trajets, le transport bimodal, les conflits de ressources, les coûts et délais de douane, l’obsolescence des stocks… L’animation met en évidence les goulets d’étranglement, les alertes de stock, les délais hors norme.
Ce modèle simule le fonctionnement d’un port maritime. Selon le nombre d’emplacements disponibles à quai, la capacité de stockage, etc. le port rencontre des situations de blocage. En fonctions de ces contraintes, on pourra jouer sur le nombre des ressources (engins de manutentions, dockers) et leurs horaires pour faire face aux situations de saturation, tout en prenant en compte les horaires des marées.
Parmi nos clients sur ce type de projets : RATP – Keolis – Iberia – Air France – Automation & Robotic – Mobalpa – Savoye – SNCF – Airbus – TracoInsa – Turbo Meca France